Contenu
- Échelles structurelles
- Bricoleurs Savonneux
- Macrophages en train de grignoter
- Obtenir un échantillon
- ID positif
Les alvéoles pulmonaires sont les minuscules sacs élastiques des poumons des animaux qui se remplissent d’air lors de l’inhalation et qui sont comprimées pour le faire sortir du corps lors de l’expiration. Chaque poumon humain contient environ 300 millions d'alvéoles. Les cellules alvéolaires comprennent deux types de pneumocytes, qui constituent la paroi de chaque avéole, et un type de macrophage, ou système immunitaire.
Échelles structurelles
Les cellules alvéolaires de type 1 sont également appelées cellules alvéolaires squameuses. "Squamous" signifie "échelle" et se distingue par sa forme plate. Ces cellules sont épithéliales, ce qui signifie qu'elles forment une membrane, en l'occurrence la paroi des alvéoles. Leurs fonctions consistent notamment à fournir un support structurel physique aux alvéoles et à faciliter l'échange rapide de gaz. Ces cellules squameuses de type 1 couvrent 95% de la surface de chaque alvéole.
Bricoleurs Savonneux
Les pneumocytes de type 2 sont également appelés grandes cellules alvéolaires. Ils se distinguent par leur forme cuboïdale, ronde ou cubique. Leurs fonctions incluent la production d’un surfactant semblable à un savon qui empêche les alvéoles de s’effondrer lors de l’expiration; et la réparation de la paroi alvéolaire en remplaçant les cellules alvéolaires endommagées des types 1 et 2. Elles sont en réalité plus nombreuses que les cellules alvéolaires de type 1, mais ne représentent que 5% de la surface de la paroi alvéolaire.
Macrophages en train de grignoter
Les macrophages alvéolaires sont également appelés "cellules de poussière". Ces globules blancs se distinguent par leur grande forme, leur mobilité, leur nombre relativement faible et leurs habitudes prédatrices. Ils engloutissent et détruisent les micro-organismes envahisseurs, et balaient également les débris qui auraient pu pénétrer dans les poumons lors de l'inhalation. Quelques macrophages sont incrustés dans le tissu conjonctif entre les alvéoles, tandis que de nombreux autres se déplacent à l'intérieur des alvéoles, à la recherche d'envahisseurs étrangers.
Obtenir un échantillon
Pour identifier les différentes cellules alvéolaires dans le tissu pulmonaire, vous avez tout d'abord besoin d'un échantillon. Dans les procédures de diagnostic humain, un échantillon de tissu est extrait soit par lavage broncho-alvéolaire, BAL, où le liquide est aspiré des poumons d'un patient sous sédation par un tube ou par biopsie. Le BAL est utilisé dans les cas où les poumons contiennent un liquide anormal, tel qu'une accumulation de liquide due à une pneumonie, et collectent des cellules mortes ou mourantes éliminées des parois alvéolaires. La biopsie élimine un morceau de tissu vivant, généralement au moyen d'une aiguille insérée dans la paroi supérieure du torse. Les études de cellules pulmonaires chez un individu mort ou vivant impliquent généralement une fine feuille de tissu séché ou un petit échantillon de cellules mélangées en solution et montées sur une plaque de microscope.
ID positif
Pour identifier les différents types de cellules alvéolaires, il suffit généralement de les observer au microscope et de noter leurs formes et leurs caractéristiques. Dans un ensemble de tissus, leur emplacement donnera également un indice sur leur identité. L'identification peut être facilitée par diverses procédures de coloration. Ces procédures utilisent différents types de colorants pour rendre certains types de cellules plus visibles que d’autres sur le fond de la lame microscopique. Les formes des cellules et les structures internes sont révélées.